Bon
S'agirait d'arrêter de se masturber avec des considérations psy sur les uns et les autres. Ça mène à quoi, Madame Breiz, de faire coller Seznec ou Qéméneur, à des définitions un peu primaires de vos manuels de psy, à la sauce pacotille, vous faites avancer en quoi, la question ? Je vous l'ai demandé plusieurs fois mais la réponse est , à ce jour, que tous avons déserté le forum et rangé nos plumes mis au grenier notre verve et éteint les lampions. C'est plutôt triste, les colonnes et les topics ce 13 novembre...On dirait la plage Saint-Laurent à Plérin en plein hiver , vide et sans aucune âme, juste l'odeur du goémon et de la moule avariée. Vraiment de quoi vous briser la gaieté...
Faut pas déconner, vous nous avez dit tout, son contraire et ses variantes, de ce que on avait déjà dit, de ce qu'on avait pu délirer et de ce qu'on pourrait encore inventer.
Tiens, moi , ça me donne du malaise, du pas-bien , côté écriture.
J'ai la chique qui colle au fond de la gorge
et le mot qui manque de vivacité
Va falloir les arroser
Avec du nouveau
comme le beaujolpif
du qui râpe à l'intérieur
du qui frétille sous la moustache
du qui allume les idées
Tiens, et si on parlait de Vacquié ?
Vous connaissez vos classiques, donc vous connaissez le blog de Langellier,
Madame Langellier, s'il vous plait, et donc vous savez qu'elle avait découvert que le Gauthier, avocat couleur marron chez qui le Seznec se rend en Juin pour raison vague et vaseuse, était le mari d'une poétesse félibrige. Vous savez aussi que Madame Langellier avait découvert qu'un collaborateur de Vacquié était un poète, membre actif de la société félibrige.
Et voilà -t-il pas que, moi, modeste chercheur, je trouve que le compagnon de Vacquié, à Lisbonne, qui se fait arrêter en même temps que lui, est aussi un poète félibrige....
Y a de la coïncidence, quand même !!!
Et j'ai beau retourner l'information dans tous les sens, je n'arrive pas à y donner le bon sens, à comprendre ce que ça signifie...
Je vous livre ça comme ça, avec espoir de nous réveiller tous un peu.